papa en colère
comme un chien
home up
mercredi 21 juin 2006 à 22:41 :: Journal :: Alerter la modération bon père, mauvais homme? aujourd'hui j'ai encore été traité comme un chien. Elle a remplie les formulaires d'inscription aux collèges des enfants, et me les a présentés à signer, dans le hall de son immeuble, devant les yeux ébahis des enfants (qui s'attendaient à ce qu'au moins nous en discution tranquillement), avec la désormais "interdiction de monter", en insistant sur le fait qu'il fallait les signer immédiatement, sous peine de ne pas inscrire les grands dans les collèges qu'elle avait choisi, faute de délais dépassé. Elle devait m'attendre pour les remplir. Elle ne devait pas écrire de sa seule initiative au rectorat à la dernière minute. NOUS devions choisir, et donc en discuter au préalable, de la scolarité de NOS enfants. Ces méthodes staliniennes sont inacceptables. A aucun moment je n'ai été associé au choix des écoles. Juste mis devant le fait accompli, le dos au mur. Contrairement à ce que je réclame, en médiation et ailleurs, depuis des mois, et surtout depuis début mars, date d'attribution de son logement, elle n'a jamais voulu discuter du choix des écoles. Pourtant cela me semble important. D'une part parceque le scolarité de nos trois enfants EST importante, d'autre part parceque c'est OBLIGATOIRE pour elle. Elle répète sans cesse "moi je travaille", "j'ai pas le temps". Si elle est si prise par son job, et qu'elle a si peu de temps à consacrer aux enfants, je suis près à le faire, à la décharger, à passer tout mon temps disponible pour la seule bonne marche de l'éducation de nos enfants. Elle DOIT maintenir le dialogue avec le PERE ET avec les enfants, pour ce qui est des décisions qui les concernent. (cf Art. 371-1 du Code Civil, au sujet de l'autorité parentale "Les parents associent l'enfant aux décisions qui le concernent"). Une fois de plus elle se soustrait à ses devoirs de mère séparée, sans tenir compte de son comportement méprisant et quasi insultant à mon égard, devant les enfants. A travers moi, ce sont les enfants qu'elle méprise. Pas d'autre choix que d'être agressif, revendicatif, de se battre, de lutter, d'employer tous les moyens possibles; une véritable guerre. Ces mères, que tout le "social" admire, respecte, écoute, se permettent tous les abus. Je me pose donc la question : pour être un bon père, faut il être un mauvais homme?